Où une morale sert de conclusion...

Maudit que c'est le fun les belles surprises. J'étais en train de vous manigancer quelque chose quand, dans ma manoeuvre, j'avais à me rendre sur mon Myspace. En entrant dans ma fiche, je vois que j'ai une invitation d'amis pis là, qui c'est que je vois pas? C'est Monsieur DX en personne! Câline... une légende  personnelle qui surgit...

Là, je vous imagine lisant ces lignes avec une expression mystifiée parce que vous ne pouvez pas vous empêcher de vous demander: pourquoi je le connais pas moi Monsieur DX? C'est parce que c'est aujourd'hui que vous deviez le connaître! Voilà.

Dans mon cas, j'ai connu Monsieur DX à cause de ce bon vieux Louis-Martin. Il y a quelques semaines de ça, je me demandais qu'est-ce qui arrivait avec lui et pas plus tard que trois jours après, bing bang, je tombe sur Marie-Lou. Ça adonne bien parce que je l'ai toujours ben aimée Marie-Lou pis en plus, elle sort avec Louis-Martin faque maintenant je sais qu'ils sont à Montréal City pis qu'ils se portent très bien tous les deux. Tant mieux.

Mais là, c'est ben le fun tout ça mais moi, avant de vivre toutes ces sensations fortes, je voulais vous faire une joke. Tout d'abord, sachez que j'ai piqué l'idée sur le blogue des Moquettes Coquettes. Voilà, mes torts sont avoués. Maintenant, allez voir ce vidéo surréaliste. C'est freak hein?

Mais certainement pas plus freak que la madame dans la section des romans canadiens qui arrêtait pas de tousser sans se couvrir la bouche cet après-midi. Non mais tsé, je l'entendais tousser comme une bête pis là, il fallait que j'aille placer un livre dans sa zone. Là, je m'aperçois qu'elle tousse freestyle, sans se mettre la main devant la bouche. Câlisse.

Tsé, la madame, elle a ben le droit d'avoir la grippe, mais moi aussi j'ai le droit de pas la pogner sa crisse de grippe. Faque j'ai pris le livre que j'étais supposé de ranger pis je l'ai laissé sur la table des suggestions.

L'anecdote de la veille... Hier, on revenait de la finale de la Ligue d'impro musicale du Saguenay pis dans le char, y avait P-O, Wellet pis moi. Un bon moment donné, P-O demande à Wellet de reculer un peu l'auto. C'est que P-O avait spotté un gars avec une coupe longueuil pis un pinche en train de dormir dans sa chaise berçante. Faque là, on a klaxonné 3-4 coups pour voir si ça allait le réveiller pis finalement, il a fallu que P-O pitche en direction de la fenêtre du dormeur une cassette, un emballage de quelque chose et enfin une bouteille de plastique vide pour que notre bonhomme se réveille dans une confusion totale. Le fait que la chaise s'est mis à bercer a encore plus ajouter à son malaise pis là, après un fou rire général, Wellet a pesé sur le gaz pis on s'est poussé comme des voleurs.

C'est crissement dommage qu'on ait pas pris le temps d'aller chercher la caméra à P-O. La morale de cette histoire est donc la suivante: celui qui pêche à même ses doigts cueillera le plus beau des poissons et lorsqu'il le montrera à ses proches, ils s'exclameront tous en faveur du nouveau roi cueilleur de poissons.